À la cantine de l'hôpital, hier midi, avec quatre internes de neurologie : aucun d'entre eux n'avait entendu parler de Modiano. Je ne parle pas d'avoir lu l'un de ses romans, mais bien d'avoir entendu prononcer son nom.
Il y a quelque chose de pourri dans les études de médecine, qui conduisent les étudiants à se couper du monde.
Nous sommes de tristes sires.